Parmi les
innombrables promesses faites et non réalisées ainsi que normes SIA non
respectées dans ce nouveau complexe Eikenott de Gland, figure en bonne place la
salle de l'immeuble de la SUVA à l'Allée Louis Cristin 3.
Ce blog risque
d'être un peu long pourtant non exhaustif, car un déroulement chronologique
s'impose, mes lecteurs m'en excuseront certainement.
Pour raisons
pratiques, les photos se trouvent en fin de blog
Préambule :
Cet immeuble a
été cité comme immeuble destiné aux seniors et mobilité réduite. Malgré les
loyers extrêmement élevés pour des personnes à petites rentes AVS ou mobilité
réduite, dépassant largement leur budget ou ce qu'autorisent les prestations
complémentaires, une partie des locataires a accepté de faire le sacrifice en
échange de nombreuses facilités qui n'existent absolument pas, dont cette salle
"aménagée" censée être un espace de détente à disposition. Nos petits
vieux, seniors ou mobilité réduite, dont certains devaient quitter leur ancien
domicile pour raisons de lieu non adapté ou trop éloigné de la civilisation et
des choses pratiques, magasins, etc., ou d'autres se retrouvant seuls avec un
conjoint défunt ou en EMS, se réjouissaient de pouvoir à nouveau se
sociabiliser et échanger avec d'autres personnes, tout en vivant dans un complexe
offrant des services adaptés à leur mobilité réduite, avec un référent ou animateur et quantité de services proposés.
Comme on l'a
déjà vu dans ce blog, il n'en est rien. Non seulement tout ceci n'existe pas,
mais tout est rendu extrêmement difficile pour ces personnes là. Si l'on y
ajoute le mépris, la condescendance et le manque de respect envers ces
personnes affiché par la Régie Foncia, les difficultés au quotidien qui les
rendent malades, stressés en permanence depuis plus d'un an, la non
disponibilité de cette salle et son absence d'aménagement en font un lieu
inexploitable.
Ils ont tous
fait confiance au simple nom SUVA, sa notoriété, ses publicités quasi
quotidiennes sur la prévention, l'image bénéfique qu'elle veut bien se donner.
C'est ainsi, qu'aujourd'hui, ceux qui se sont précipités pour la location se
sont vus voler tous leurs rêves et que l'immeuble à ce jour est habité par
environ 80 % de jeunes ou quadragénaires qui seraient tentés de soutenir les
aînés dans leurs démarches revendicatrices, mais ne le font pas, car ils n'ont
pas le même bail que nous et celui-ci stipule que si un senior nécessite
l'appartement, ils doivent dégager… Parfaitement légal, mais d'une manipulation
exécrable, sachant que le propriétaire ne veut plus louer aux seniors, je cite
: "car ce sont tous des gens à problème".
Chrono :
A la visite des
appartements en 10 minutes, devant passer par des chemins caillouteux dans un
complexe encore en pleine construction, dangereux et non adaptés pour y
accéder, sans panneaux autour du complexe pour indiquer où l'ont pouvait y
enter, la Régie Comptoir Immobilier en charge des visites vantait cette salle
de détente à disposition permettant aux personnes de l'immeuble de se réunir.
Un formulaire sondage de la SUVA fut fourni et à remplir pour savoir que ce
chacun aimerait en faire et quels services seraient nécessaires dans l'immeuble,
citant un éventuel référent. Une belle brochure fut fournie, avec de belles
photos de synthèse et de belles promesses. Il fut également invité à aller voir
le site internet de Losinger-Marazzi sur le web pour de plus amples
informations. Sur ce site figurait une belle vidéo de synthèse sur le quartier
montrant clairement tout ce qui n'est pas.
Pendant cette
visite, seuls les appartements du rez-de-chaussée étaient visibles.
Ayant réussi à
obtenir les plans de l'immeuble en amont par mail, non sans de gros efforts,
j'ai tout de suite vu ce que l'on pourrait faire de cette salle.
Lors de
l'emménagement en mai 2014, la salle pouvait s'ouvrir avec notre clé
d'appartement, une clé unique qui ouvre toutes les portes. C'est ainsi que nous
pouvions constater que la salle était totalement vide, mais nous nous sommes
dits qu'elle allait être aménagée sous peu.
15 jours plus
tard, nos clés n'ouvrirent plus la salle de 110 m2 vide. Les serrures avaient
été changées. Ah ! Sans nouvelles de notre Régie Foncia ni de la SUVA à ce
sujet. Nous pûmes constater que Losinger-Marazzi se servait de "notre"
salle pour ses réunions, rendez-vous d'affaires, promotion pour délégation
d'architectes et propriétaires, agapes diverses et bouteilles de champagne :-)
Lors d'un rendez-vous avec cette entreprise afin de régler certains problèmes
d'accès extérieurs, je pus constater qu'ils avaient meublé cette salle à leur
goût pour leurs réunions : canapés, fauteuils, télévision, écran de diffusion
sur le mur, tables en verre sur tréteaux, chaises, tabourets de bar, et
maquette du complexe.
La raison du
changement de clés et l'inaccessibilité de la salle pour les locataires était
donc là. Mais personne ne nous a prévenus, ni demandé l'autorisation d'utiliser
cette salle destinée à notre détente et la réunion des locataires de
l'immeuble.
Losinger-Marazzi
a utilisé cette salle jusqu'en novembre 2014, soit pendant environ six mois, privant par là-même
les personnes âgées de l'immeuble ne serait-ce que de pouvoir aller voir les
feux d'artifice du 1er août ou ceux de Paléo sur la terrasse, alors
qu'il n'y a même pas un banc à disposition et adéquat pour ces personnes à
l'extérieur dans la verdure ou les allées.
C'est ainsi que
nos petits vieux commencèrent à déprimer, n'ayant autour d'eux aucun moyen à
disposition de ce qu'on leur avait promis. La Coop n'était pas encore ouverte,
la pharmacie et le tea-room non plus, le Centre médical idem. Enfermés dans un
désert de sociabilité après avoir quitté des décennies de souvenirs et de lieux
les portant pour des châteaux en Espagne. Adieu scrabbles, petit café en
commun, lecture, découverte de compositeurs classiques, cours de langue,
ateliers, etc..
Entretemps et en
août 2014, je fis un rapport de 39 pages à la SUVA sur tout ce qui ne
fonctionnait pas dans l'immeuble et dans le complexe pour les personnes âgées
et à mobilité réduite. J'en profitais pour citer tout ce qu'il serait possible
de faire dans cette salle moyennant quelques aménagements, car elle n'a pas été
construite intelligemment pour pouvoir être une salle polyvalente et accueillir
différentes activités en même temps. Séparation mobile nécessaire, les deux
portes donnant toutes deux dans la même pièce… pas de réduit ou local pour y
stocker du matériel, toiles de tente ingérables, on le verra plus loin.
C'est ainsi que
je proposais :
- cours de peinture, bricolage, langues
- petits concerts acoustiques par élèves du
conservatoire ou musiciens d'Eikenott ou de Gland (ce qui s'avèrera plus tard
ingérable cause acoustique non pensée et compatible)
- expositions de peinture par les élèves
des Beaux-Arts ou école de peinture Vaud
- démonstration de filage de laine par le
Club de filage dont l'une de nos locataires senior fait partie
- petit concert en faveur de la Fondation
l'Espérance qui assure le transport à la déchetterie pour les aînés et mobilité
réduite
- créer la chorale d'Eikenott
- création d'un blog des seniors d'Eikenott
(petites annonces, échanges de services, réflexions, recettes, etc.)
- cours d'informatique
- possibilité de faire participer la
Commune par divers moyens
Ceci tout en
gardant un espace inaliénable aux locataires de l'immeuble pour leurs réunions,
petits cafés, scrabble, jeux de cartes. Liste non exhaustive.
Je relevais
aussi que je pouvais prendre en charge l'organisation gratuitement avec l'aide
de quelques seniors pour autant que l'aménagement soit adéquat. Cette salle
aurait pu, sous association à but non lucratif, subvenir à ses frais et ne pas
être une charge pour le propriétaire, tout en permettant aux seniors de pouvoir
en bénéficier et se réunir quand ils le veulent.
Ce rapport dans
son ensemble ne fit l'objet d'aucune réponse écrite.
Je relevais
aussi qu'il serait difficile de refuser l'accès à un handicapé, ce qui est
illégal, pour les expositions, cours ou concerts ouverts également aux
visiteurs extérieurs, car l'exiguïté de l'ascenseur ne permet pas d'y placer en
même temps un véhicule électrique et un accompagnant ! Dans immeuble destiné à
mobilité réduite, je le rappelle. Et même dans un autre lieu public, c'est la
règle dans les normes, dans notre constitution ainsi que dans les droits de l'homme
que les handicapés et personnes à mobilité réduite aient un accès aisé.
En novembre 2014
un règlement de la Salle fut placé par la régie à l'entrée de l'immeuble et sur
la porte de la salle. Je demandais aussitôt à la régie de m'envoyer une copie par
mail, afin de pouvoir l'imprimer pour les personnes de l'immeuble à la vue
déficiente, incapables de lire un règlement affiché sur un mur à une hauteur
non adéquate à leur vue ! Démarche inutile, je ne reçus rien.
Le règlement
stipule entre autres :
Qu'il faudra
réserver la salle une semaine à l'avance !!! pour faire un scrabble et boire un
petit café ? voilà qui est risible ; que la salle sera aménagée tables et
chaises pour 30 personnes et dans une lettre annexe que le détenteur de la clé
sera le concierge qui est une entreprise de nettoyage qui n'est pas sur place
et qu'un état des lieux devra être fait avant et après utilisation. Ah bon ?
La seule
personne qui ait fait un état des lieux écrit, c'est moi, à la première utilisation,
envoyé à la Régie Foncia et à la SUVA constatant de nombreux défauts ou manque
de clés pour ouvrir ceci ou cela. Un petit merci de la Régie ou de la Suva ?
Non. Même pas un accusé de réception.
J'organisais
donc avec réservation cette salle pour la première utilisation le 9 novembre
2014, avec l'aide de quelques dames seniors et plus jeunes de l'immeuble dans
le but de réunir tous les locataires déjà en place pour un apéro et collation,
qu'ils puissent faire connaissance, enfin, dans la salle attique qui leur est
destinée. 30 inscrits, 25 présents, heureux de pouvoir se rencontrer, échanger,
jeunes, quadragénaires, soixantenaires, aînés, et même notre doyenne de 99 ans
en fauteuil roulant, amenée par ses enfants, aujourd'hui décédée. Quel plaisir
pour tout ce monde, ce fut une grande réussite. Plusieurs locataires
apportèrent aussi de la nourriture et boissons, si bien qu'il y en avait pour
50 personnes et qu'une grande distribution s'imposa à la sortie.
Le constat en
faisant l'état des lieux était que cette salle était VIDE ! ou presque. Seules
13 chaises branlantes et 4 tables aux lourds plateaux de verre sur tréteaux et
impossible à bouger, ont été laissées là, par Losinger-Marazzi, pensant bien
faire.
Il aura fallu y
monter, chaises ou fauteuils avec accoudoirs et coussins pour les personnes
âgées, tables d'appoint à roulettes, vaisselle couverts et verres en plastique,
couvertures pour protéger les plateaux de verre des tables, etc. La salle est
dépourvue de tout meuble apporté par la SUVA, pas d'assiettes, pas de verres,
pas de couverts, si bien que je me demande à quoi peut bien servir la machine à
laver la vaisselle installée dans la cuisine avec une cuisinière à induction,
totalement incompatible avec les personnes qui ont un pacemaker, un défibrillateurs
ou des prothèses métalliques selon les recommandations de l'OFAS. Comme
d'ailleurs dans tous les appartement de cet immeuble censé être destinés aux
seniors et mobilité réduite.
La réflexion
n'est plus de ce monde.
Croisant ce jour
là dans le quartier le responsable Eikenott de Losinger-Marazzi, sans doute
honteux et confus d'avoir squatté notre salle pendant des mois, celui-ci me fit
- voyant ma mine fatiguée et dépitée et auquel je relatais la déprime de nos
seniors - une proposition alléchante : "Faites-moi une liste de vos
besoins pour cette salle et Losinger-Marazzi y participera en partie. Nous
l'avons construite pour que les locataires de l'immeuble puissent en
bénéficier, sinon nous aurions conçu cet espace pour en faire un appartement
attique".
J'organisais
donc un sondage dans l'immeuble pour connaître les souhaits des locataires
concernant l'aménagement. Peu répondirent, 2 ou 3, las sans doute de n'avoir
jamais aucune réponse à rien ou las de lire les différentes informations utiles
que je posais régulièrement dans l'entrée car personne d'autre ne le faisait. Une
locataire proposa de donner deux fauteuils Voltaire pour un petit coin lecture,
une autre proposa de donner de beaux livres illustrés pour une bibliothèque
commune. Je remis donc une belle liste des besoins à notre constructeur par
mail avec copie à la Régie Foncia et à la SUVA, après une grande et longue
recherche sur internet dans les sites d'ameublement pour trouver quelques
meubles à un prix correct et adéquat aux personnes âgées, mais ce n'était pas
la bonne période pour glaner et faire un devis précis. J'avais néanmoins trouvé
des tables sur roulettes chez IKEA qui auraient été idéales, facilement
déplaçables et pas chères et quelques autres babioles pour le début du devis.
Losinger-Marazzi
trouva ma liste cohérente pour une salle et terrasse de cette importance, me
proposa une somme de Fr. 1'500.00 pour sa part qui couvrait une toute petite
partie des besoins, mais c'était mieux que rien et aurait permis quelques
tables et chaises adéquates pour les aînés et vaisselle/couverts. Il me fit
savoir que l'animatrice du quartier pourrait m'emmener en voiture et
m'accompagner pour faire les premiers achats nécessaires.
Qu'avais-je fait
là avec cette liste ? Un crime de lèse-majesté qui me valut 3 mails
incendiaires de Foncia, menaçant de nous retirer la salle si nous ne
respections pas le règlement et nous interdisant d'y placer des meubles… et
trouvant indécent le fait de vouloir mettre une bibliothèque dans un lieu
destiné à la détente (sic). J'avais en même temps proposé que quelques seniors
de l'immeuble aient la responsabilité de la clé à tour de rôle pour faciliter
son accès.
J'écrivais donc
au responsable de Losinger-Marazzi pour lui demander de garder cette somme en
attente de savoir ce que la SUVA voulait réellement faire de cette salle
puisqu'elle ne voulait pas qu'on l'aménage nous-mêmes tout en ne le faisant pas
elle-même.
Le panneau
d'affichage ne permet en rien d'écrire ce qui a été mentionné dans le
règlement, il n'y a pas la place pour cela. Il n'autorise pas non plus à
réserver la salle pour deux heures, alors que d'autres pourraient en avoir
besoin le même jour à un autre moment. Seule la journée complète est possible.
Cette absence de sens de l'organisation dépasse mon entendement.
Notre régie a
même refusé de nous fournir un matériel de nettoyage adéquat pour grande salle,
si bien qu'après utilisation, on doit passer une serpillère adéquate à un 2,5
pièces. Cette salle fait 110 m2, la terrasse fait 100 m2 en béton brut et n'a
pas une simple chaise en plastique ni un point d'eau pour y mettre un jet !
J'organisais
également le 28 décembre, un petit atelier peinture-bricolage-collage pour les
personnes de l'immeuble avec l'aide d'une personne résidant dans l'immeuble
protégé voisin mieux spécialisée en collage que moi. Petit comité, sympathique,
dans le but de "retrouver son âme d'enfant" et de faire du grand
n'importe quoi, de laisser la créativité s'exprimer. Certains n'osèrent pas
mais regardèrent, d'autres préférèrent faire des délicieux gâteaux pour tous
les autres. C'était sympa, revigorant. Oublier Eikenott un temps.
Un autre
rendez-vous dans cette salle eut lieu avec l'Association Vivag qui désirait la
visiter et l'utiliser parfois pour de petites animations. Mais en voyant la
salle vide de tout aménagement ainsi que l'acoustique ingérable de résonnance
qui fait que lorsque 3 personnes parlent en même temps plus personne n'entend
rien, ils renoncèrent. Dommage pour nos petits vieux qui ne peuvent prendre le
bus pour se rendre aux diverses réunions de cette association, trop fatigués
pour cela.
De toute
évidence, non seulement la SUVA n'a pas aménagé cette salle puisque les seuls
meubles existants et ingérables ont été laissés par Losinger-Marazzi qui aurait
mieux fait de les enlever, mais refuse que nous le fassions nous-mêmes ou avec
l'aide de l'extérieur et envisage probablement d'en faire une toute autre
utilisation que celle qui était prévue et promise ! Les petites réparations, ou
manque de clés cités dans le premier état des lieux pas résolus. Le faux
plafond au dessus d'énorme porte coulissante lourde séparant la cuisine, se
cassait la figure à la deuxième utilisation.
Il eût été
facile dans le cadre d'une association de faire participer aussi d'autres
associations, fondations, entreprises ou magasins par des dons en matière pour
l'aménagement. Mais la porte est fermée totalement au dialogue à ce sujet,
comme à tous les autres concernant cet immeuble avec le propriétaire et la
régie qui nient systématiquement leur responsabilité en tout ce qui concerne
cet immeuble.
La SUVA et
FONCIA ont volé leurs derniers rêves à des personnes âgées et à mobilité
réduite tout en les empêchant de les réaliser par eux-mêmes et en encaissant
des loyers exorbitants pour des promesse d'envol. Pour exemple, les 2,5 pièces
de 53 à 55 m2 varient entre Fr. 1'635.00 et 1'715.00 cc par mois selon l'étage.
Ils leurs ont
volé leur fin de vie en paix, en convivialité. Comment ceux-ci après avoir laissé
tout un passé derrière eux, fatigués des combats incessants dans ce quartier ou
dans leur immeuble pour faire valoir leurs droits, pourraient-il encore avoir
la force et les moyens financiers de déménager ailleurs même si certains le
souhaiteraient ? De se battre juridiquement contre des mastodontes ? C'est le deuxième
été que cette énorme salle ne peut être utilisée, faute d'aménagement. A peine
une fois par mois. 110 m2 voués à l'abandon.
J'aurais
souhaité qu'au moins cette salle soit portes ouvertes pendant les différentes
fêtes, Pâques, Noël, Nouvel-An, 1er août, pour que les personnes
seules puissent s'y rejoindre, mais elle est toujours réservée pour les fêtes
par certains jeunes de l'immeuble qui se soucient peu de la solitude des
seniors dans un immeuble qui leur est pourtant destiné. Certains autres jeunes
sont seuls aussi dans cet immeuble et aimeraient bien y monter un moment après
leur travail pour voir si quelqu'un est là et boire un café, discuter un moment
avec les plus âgés. Dans un quartier qui se veut multi générationnel et
solidaire, tout est fait pour que cela ne puisse exister.
Tout porte à
croire que la SUVA aimerait en faire une autre destination que celle qui avait
été promise et initialement prévue en prenant pour prétexte que cette salle
n'est pas utilisée, mais pour cause ! Comment utiliser une salle vide de tout
aménagement, avec un tel règlement ?
Merci à tous mes
lecteurs de m'avoir lue en entier et jusqu'ici ! N'hésitez pas à commenter et
si vous voulez que votre commentaire passe, cliquez en premier sur le choix en
dessous de la petite fenêtre : anonyme, google, fb, etc. avant de l'écrire.
Petit bug de l'interface sinon, elle ne reconnaît même pas si vous êtes déjà
connecté à google et si vous ne faites pas cela, ce que vous avez écrit
disparaît.
Les photos :
La salle, les armoires, les tiroirs, la terrasse vides :
l'aménagement de la cuisine |
Pas ce couverts ni de casseroles |
Les assiettes et verres ??? |
La terrasse vide de tout et un pauvre Areca mort de soif depuis 2 ans, terrasse de 100 m2, inutilisable faute d'aménagement même minimal |
Faux-plafond réparé depuis |
Préparation de l'apéro après avoir monté fauteuils, chaises, tables d'appoint |
Petit atelier improvisé avec ces dames |
La salle à ce jour, avec les lourdes tables en verre contre le mur, déplacées par les jeunes à dernière utilisation qui n'ont pas compris que des personnes âgées ne peuvent pas bouger ces tables !!! |
Et pour
illustrer musicalement ce blog :
L'inaccessible
étoile de Jacques Brel :
A bientôt
C'est froid, triste... A ce prix-là, mieux vaut choisir l'enfer.
RépondreSupprimerPas faux, en enfer il fait au moins chaud l'hiver :-)))
SupprimerSituation consternante... suis admirative de ta force de volonté et des idées lumineuses qui t'animent pour le bien de tous. Mais l'inertie et la mauvaise volonté de ces personnes qui refusent de se poser les bonnes questions et qui agissent comme des fonctionnaires aux ordres de "faut pas trop m'bouger parce que je pourrais tomber et me creuser le crâne serait préjudiciable" ils n'ont pas la force de conviction de Brel.... hélas.
RépondreSupprimerGros becs